The ban on headscarves at the Koninklijk Atheneum in Antwerp and the Athenaeum in Hoboken led to mass protests by the Muslim community yesterday. The schools were the last secondary schools to permit headscarves amongst pupils in Antwerp. Three hundred pupils are now threatening to leave the school in protest, although they will not find a single school in Antwerp which still allows headscarves. For technical (TSO) students and those with special education needs (BSO), there is still one remaining. Pupils and parents gathered at the Antwerp Athenaeum to express their anger at the 'ban on political and religious symbols'. Imam Nordin Taouil even called on Muslims to keep their children out of the school when it reopens in September and sent letters to the school boards stating that Islam is a recognised religion and that everyone should be welcome in a democratic society. The fact that many schools in Morocco and Turkey enforce a similar ban is not an argument in favour of the ban, the imam says. Meanwhile school principle Karin Heremans says she does not know what all the fuss is about at these schools, as the ban on headscarves has long been in place in all other schools. She believes that many pupils attended these schools for the sole reason they still permitted headscarves. The pupils systematically refused to attend other schools, even after they were advised to attend classes in another school as a result of a pedagogical reorientation, simply because they were not allowed to wear headscarves there.

The Chinese car manufacturer Beijing Automotive Industry Company (BAIC) is featuring strongly against Austrian-Canadian Magna rival in the Opel takeover saga. Flemish Minister of the Economy Patricia Ceyssens (Open VLD) was happy to spend an hour and a half in discussion with the Chinese company's executives at Opel's headquarters in Rüsselsheim (Germany) yesterday. BAIC is well-known for the Jeep they manufacture in China under licence of the American Chrysler. Although Magna is still the favourite for the takeover as far as the German government is concerned, BAIC has never given up the fight and even obtained permission from Opel to inspect their books. German Minister of Economic Affairs Karl-Theodor zu Guttenburg confirmed yesterday that he welcomed alternative offers. The parent company, General Motors, has not rejected the bid either. Magna must submit its plan for Opel by 15 July, and also give an indication of necessary government funding and job-losses. BAIC's offer could also be more attractive as the company does not require emergency credit or state guarantees to secure credit. Magna, on the other hand, is faced with a takeover partner, the Russian Sberbank, which wants to pull out of Opel within a relatively short period.

From 28 June to 21 September the Museum of Modern Art in New York (MOMA) dedicates a retrospective exhibition to the Belgian painter James Ensor. The 127 paintings, drawings and prints will be exhibited on the fifth floor of the museum and focus on his work between 1880 and 1895. A glaring omission is his masterpiece `The entry of Christ into Brussels', which the Getty Museum in Los Angeles declined to lend. Curator Anna Swinbourne attributes Ensor's relative obscurity in the US to the fact that his work is hard to categorise. But he will still be the big summer draw card at the MOMA. The recently opened Flemish House in New York is the main sponsor, contributing 150,000 Euros to the exhibition. According to their head of cultural affairs, Ensor is "an exponent of the Flemish tradition of rebellion". He hopes the exhibition will afford Flanders the opportunity to portray itself as "an openly creative region".

22/06/09 - Princess Mathilde, wife of Crown Prince Filip, visited the editorial office of the Flemish educational magazine Klasse. Klasse was started 20 years ago by the Flemish education board as a magazine for teachers. In the meantime Klasse has a whole series of magazines and websites with information also for parents and students as well.

The two co-pilots landed the plane safely at Newark airport in New Jersey; the passengers did not know what happened.

Angry farmers are occupying several key intersections. They also clashes with police trying to get close to the EU summit venue.

The museum opens today for the general public. King Albert was at the inauguration on Thursday.

In all 4 cases the people infected had just returned from the United States: one women and 3 family members.

Il n'y aura finalement pas d'interdiction totale de fumer dans les locaux horeca. Dès le 1er juillet 2010, cette interdiction s'appliquera toutefois à tous les lieux où l'on peut se procurer un repas préparé. Jusqu'à présent, les commerces où les repas représentaient moins d'un tiers du chiffre d'affaires pouvaient encore accueillir les fumeurs. Ce ne sera plus le cas dorénavant, mais aux termes du compromis sur lequel la Chambre a atteint un consensus, ceux-ci pourront toujours trouver refuge dans les cafés servant uniquement des boissons. Les deux propositions de loi de la N-VA et du CD&V, qui proposaient une interdiction totale, ne sont donc pas passées. Les libéraux de l'Open VLD, principalement, ont intercédé en faveur des nombreux exploitants de cafés. La fédération des indépendants Unizo publiait hier encore une étude démontrant que la majorité des tenanciers sont contre l'interdiction de fumer, et que 65% d'entre eux craignent même la faillite. Sachant que ce secteur est particulièrement touché par la crise, les partis majoritaires ont décidé d'assouplir la mesure, et le compromis pourrait être voté dès aujourd'hui. Pour autant, il faut encore éclaircir de très nombreux détails techniques pour définir quels commerces devront ou non imposer l'interdiction de fumer. Par exemple, que faut-il entendre par "repas préparé" ? Les cafés qui ne servent pas à manger auront désormais le choix d'adopter ou pas l'interdiction. Le Parti Socialiste adopte quant à lui une attitude ambigue : si la ministre de la Santé publique Laurette Onkelinx plaide pour une interdiction généralisée du tabac dans son plan de lutte contre le cancer, la plupart des députés socialistes se montrent plus soucieux de préserver l'existence des cafés populaires.

Une centaine de collaborateurs des anciens cabinets libéraux risquent de se retrouver sans emploi. Sur les 149 personnes travaillant aux cabinets des ministres Ceysens, Keulen et Van Mechelen, 48 sont détachées de l'administration et pourront donc y reprendre leur fonction dès que le nouveau gouvernement entrera en fonction. Mais les 101 autres seront licenciées, avec un maximum de 5 mois d'indemnité de préavis. Travailler pour un ministre d'un autre parti n'est pas de mise en Flandre, même pour les personnes connaissant très bien les dossiers du cabinet, et qui pourraient donc être très utile au nouvel occupant. Les collaborateurs des cabinets ont en effet une étiquette politique, ce qui, dans la pratique, ne leur permet pas de travailler pour un autre ministre. Pour l'Open VLD, il est très difficile de leur proposer d'autres fonctions au sein du parti, puisque le groupe au Parlement flamand sera réduit suite à la perte de plusieurs sièges. La diminution des votes fait aussi perdre au parti 448.000 euros de dotation publique. Par contre, c'est le contraire pour la N-VA : elle a ouvert plusieurs postes tant au parti qu'au parlement, et si elle peut espérer faire siéger trois ministres, ils pourront créer chacun leur cabinet. Depuis plusieurs années, certains plaident pour un dégraissage des cabinets ministériels et le transfert d'une quantité de travail préparatoire à l'administration, mais dans la pratique, on ne voit pas venir grand-chose, constate De Standaard.

Les deux frères mineurs ukrainiens Lev et Michael G. qui ont porté deux coups de couteau à leur camarade d'école Simon Wijffels (14 ans) devant leur école de Gand, le blessant très grièvement, ont été "admonestés" hier par défaut par la juge de la jeunesse. Aucun des deux frères n'était présent à l'audience : la famille G. séjournait illégalement dans le pays et a été récemment expulsée, de sorte que les deux auteurs l'ont accompagnée en Israël après avoir passé respectivement seize et neuf mois dans l'institution fermée d'Everberg. Bien que la juge ait estimé que les deux frères aient bien eu l'intention de tuer Simon, elle a souligné qu'aucun des deux n'avait jamais eu affaire à la justice, qu'ils avaient clairement manifesté leur contribution dès le début, et qu'ils avaient suivi un parcours exemplaire dans l'institution. Pour le frère aîné, un placement complémentaire dans une institution pour jeunes était même impossible, étant donné qu'il avait atteint sa majorité en avril. En théorie, le parquet aurait pu transmettre son cas à un tribunal pour adultes, mais ce n'est possible que s'il apparaît que le jeune est "irrécupérable", et non pas au vu de la gravité des faits. Pour les parents de Simon, qui a échappé de justesse à la mort, cette admonestation est une déception, même si la famille sera indemnisée par le fonds des victimes à concurrence de 30.000 euros. Pour De Standaard, ce jugement suscite à tout le moins un sentiment d'impunité, mais la principale erreur a été commise plus tôt, lorsque le tribunal a omis de prévenir l'Office des étrangers et que ce dernier a laissé la famille G. partir en Israël.

Au début des négociations gouvernementales flamandes, l'ancien Premier ministre CD&V Mark Eyskens se montre peu optimiste sur les chances de succès d'une réforme de l'Etat. Pour lui, celle-ci est impossible suite à l'éviction des libéraux des parlements flamand et wallon. La scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde ne se fera pas non plus avant les élections nationales de 2011, car les libéraux francophones du MR et leur aile radicale du FDF, qui sont exclus du gouvernement régional bruxellois, ne l'accepteront jamais. Cela signifie que les élections ne peuvent respecter la constitution que si elles sont organisées « à l'ancienne », selon la subdivision en arrondissements électoraux, précise Eyskens. De cette manière, la Belgique évitera de se trouver dans une impasse totale lorsqu'elle présidera l'Union européenne au second semestre 2010. Au printemps 2010, les francophones ne pourront plus invoquer le conflit d'intérêts vis-à-vis de la revendication flamande visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde; pour Eyskens, cela entraînera automatiquement la chute du gouvernement. En attendant une réelle réforme entre 2011 et 2015, il plaide par conséquent pour l'approbation de quelques accords de coopération entre le fédéral et les régions et communautés. Car pour lui, la seule alternative est encore plus douloureuse : 'que tous les partis du futur gouvernement flamand (y compris la N-VA) fassent un virage à 180 degrés, et avouent en toute honnêteté qu'il est impossible d'obtenir une réforme de l'Etat en 2011. Reste à savoir si la N-VA acceptera cette solution.'

Les négociations sur la formation d'un gouvernement flamand risquent de se compliquer, car il apparaît que celui-ci devra trouver 5 milliards d'euros pendant sa législature, qui va jusqu'en 2014. Avec les libéraux désormais exclus des négociations, une pierre d'achoppement est déjà écartée : la liaison d'Oosterweel à Anvers. Les libéraux voulaient absolument que le Lange Wapper, le pont surplombant les docks, soit construit. La N-VA et le CD&V sont eux aussi partisans de cette solution, mais ils sont prêts à tenir compte du référendum organisé sur la question à Anvers. Le plus inquiétant, pour le SP.A et la CD&V, c'est l'agenda sur la réforme de l'Etat que Bart de Wever, Jan Peumans et Geert Bourgeois de la N-VA vont présenter, même si le fait que les nationalistes flamands aient accepté que la maximalisation des compétences flamandes ait lieu "dans le cadre constitutionnel et légal", comme stipulé dans la note Peeters, a de quoi les rassurer un peu. Ces prochains jours, on parlera en détail de la viabilité d'une allocation familiale flamande et de l'extension de l'assurance soins de santé, mais les attentes sont modérées : les francophones peuvent invoquer un conflit d'intérêt pour contrer des compétences flamandes étendues, et il faut également tenir compte de l'Europe, ainsi que du manque d'argent qui risque de limiter considérablement les ambitions. En effet, la mission n° 1 du gouvernement sera de faire des économies. Il n'est pas du tout certain qu'un accord soit trouvé pour le 11 juillet, jour de la Fête de la Région flamande, et pour Kris Peeters, ce n'est d'ailleurs pas indispensable. Il demande cependant à tous les partis de s'engager clairement sur leur intention d'aller jusqu'au bout de la législature.

Neuf mois après l'annonce du partenariat entre la Lufthansa et Brussels Airlines, la Commission européenne a approuvé l'opération. A terme, la Lufthansa entrera très probablement en possession de Brussels Airlines, mais ce ne sera pas avant 2011. Dans une première phase, la compagnie allemande va acquérir 45% du capital de Brussels Airlines pour un montant de 65 millions d'euros, en échange desquels elle obtiendra trois sièges au conseil d'administration de SN Airholding. L'augmentation de capital est plus que bienvenue pour Brussels Airlines, qui a enregistré une perte de 12,2 millions d'euros l'an dernier et menace à nouveau d'être dans le rouge cette année dans la mesure où le nombre de passagers a chuté de 15 à 17%. La collaboration avec Lufthansa permettra de réaliser des économies d'échelle grâce à une collaboration sur une série de services, fournisseurs, entretien et renouvellement de la flotte. Avant la fin de l'année, Brussels Airlines adhèrera aussi à Star Alliance, un vaste réseau international de compagnies aériennes.

Karel Van Miert est décédé accidentellement hier à 67 ans, de manière totalement inattendue, après être tombé d'une échelle. Van Miert avait été le chef des socialistes flamands entre 1979 et 1988, avant d'être Commissaire européen de 1989 à 1999 - aux transports, au crédit et à l'investissement ainsi qu'à la politique du consommateur de 1989 à 1993, à la concurrence, aux affaires personnelles et à la gestion générale de 1993 à 1995, et à la concurrence de 1995 à 1999. Karel Van Miert était un ardent défenseur de l'Union européenne. Il jouissait, tant sur le plan national qu'international, d'un immense respect pour la détermination avec laquelle, en tant que Commissaire à la concurrence, il s'était opposé aux grandes entreprises et lobbys politiques. Van Miert ne s'occupait plus de politique belge, mais ce commentateur privilégié exprimait encore de temps à autre son point de vue sur les affaires européennes et internationales dans les médias flamands. Le SP.A se dit ému et sous le choc.

'Action in Flanders' is the memo drafted by Kris Peeters, charged with forming a new Flemish government.

Newspapers across Belgium have provided extensive coverage to the sudden death of Karel Van Miert. The former European commissioner and chairman of the Flemish socialists died Monday from heart failure and a subsequent fall from a ladder in his orchard. Van Miert was 67 and a passionate gardener. He had retired to his orchard with nearly 200 trees in the last few years. A consolation for this farmer's son, who passed away too young, was that he died amongst the fruit trees that had been his life, said De Morgen newspaper, who ran a full twelve pages on the event. Not only had Van Miert been an active and passionate politician, he had also accomplished a huge amount thanks to his energy, becoming one of Belgium's greatest politicians since World War II, De Morgen newspaper opined. In the seventies and eighties he gave the former Belgian Socialist Party (BSP) the fresh face of a rejuvenated, ethical, progressive, pacifist and inspired Flemish party. Nor did he shy from foreign issues, such as the fight against cruise missiles. This brought Van Miert's SP into contact with the broad left-wing wave amongst the youth and progressives outside of the party. He also promoted other issues and actively contributed to the establishment of the progressive newspaper De Morgen, which replaced the old socialist newspapers Volksgazet and Vooruit. In the early years he was frequently compelled to assist De Morgen financially. The pinnacle of his leadership of the SP was undoubtedly the enormous lead the party gained during the European elections when he received half a million preferential votes, giving the SP a 28 percent return at the polls, one of the highest ever for the Flemish socialists.

A dark period in the life of Karel Van Miert was undoubtedly the Agusta Affair, which badly hurt the SP. Van Miert was a European commissioner in 1995, with Willy Claes the secretary-general of NATO, Louis Tobback the party chairman and Frank Vandenbroucke the foreign affairs minister, and it was the golden era of the SP. But barely a month later their dream lay in tatters. It appeared the socialists had become involved in a common bribery scandal. The Italian helicopter manufacturer, Agusta, had greased palms in order to sell useless machinery to the Belgian state. Accusations were hurled back and forth, with Van Miert's life-partner Carla Galle, national secretary for the party between 1984 and 1991, and party treasurer Etienne Mangé particular targets. The in-party tensions resulted in the Van Miert-Galle couple becoming unpopular with a section of the party executive. Van Miert was furious that it had all happened behind his back, and considered the accusations against Galle to be a step too far. He broke off from some of his friends in the executive. In the nineties it was Europe, and not so much the party, that was the focus of his passion. He was highly respected as a European Commissioner with his direct and unimpeachable fight against major companies in the interests of the consumer. Being a socialist, Van Miert believed in the free market system as a driving force for economic growth, but it had to be a market subject to rules. His battle with Boeing and McDonnell Douglas became legendary. Van Miert was also a passionate advocate of European integration. He believed the EU should act as a counter-weight for the US, with its lack of regulation, tendency to misuse power and noncompliant multinational companies. That was also the reason for his disdain for the British, who he believed slavishly followed the US. As a passionate European he considered the weak and visionless reaction to the recent financial crisis a sorrowful one.

Senior members of the federal government will meet today to discuss the budget for the next few years, and Europe is insisting on changes. Prime Minister Herman Van Rompuy and his deputies also have to determine how the budget savings between federal, regional and local governments will be divided in the coming years. Van Rompuy intends saving six billion Euros in the next two years in order to eliminate the structural budget deficit and balance it once more by 2015. The future Flemish government will also be negotiating on the budgetary framework today, and it is not inclined to spring to the aid of the destitute federal government. According to the negotiating parties in Flanders, it is no coincidence that the liberal plea for additional funds from the regions comes at the same time the Open VLD and MR have realised that - the Flemish liberals in Brussels aside - they will not co-govern anywhere on regional level. The future Flemish governing parties believe the liberals want to prevent regional governments from scoring at the expense of the federal government. But the office of the Minister of Foreign Affairs Karel De Gucht (Open VLD) denies this. The biggest expenses (pensions, healthcare, etc.) are borne at a federal level, and it is therefore logical that the regional governments help out, is the explanation. And so Prime Minister van Rompuy is now stuck between the liberals in his own government and his fellow party-member Kris Peeters in the Flemish government.

Electricity for households in Belgium is much more expensive than in the neighbouring countries, according to a study by the consumer organisation Test Aankoop, which compared the energy rates of standard suppliers in eight European countries. The electricity bill for a single Belgian with low electricity consumption is 43 percent more than the average in neighbouring countries, while a family of three consuming 3,500 kilowatt-hours a year will pay, on average, 16 percent more than a family in a surrounding country. And even in the high consumption category (7,500 kilowatt-hours), the electricity bill is still six percent more than it would be in neighbouring countries. Belgian gas-consumers on the contrary are better off, and a person using only gas to cook will pay ten percent less than in surrounding countries. Figures released by the energy watchdog CREG confirm those of the Test Aankoop study. The electricity bill for an average family with a consumption of 3,500 kilowatt-hours has increased by 150 Euros over a period of five years. CREG says the increase is not only due to rising fuel and distribution prices, but is primarily due to the modified rates formulas employed by the energy companies. Electrabel, the biggest energy producer in Belgium, blames the fluctuating fuel prices, which have increased faster than in the neighbouring countries, and claims that the price increases were only temporary. In April 2009 they were on average seven percent lower than in the neighbouring countries, the electricity producer claims.