In an interview with the daily De Standaard she said she would pass on the torch on October 3.
Deux cantonniers écrasés par un camion : la vitesse excessive sur les chantiers autoroutiers en cause
Peu après 9 heures, les cantonniers Raphaël Boulanger et Vincent Périni étaient en train de marquer la chaussée sur l'autoroute E40 à proximité de Crisnée lorsqu'un camion a embouti une voiture de signalisation censée protéger les ouvriers du trafic. Littéralement catapultée par l'impact, la voiture a heurté un autre camion chargé de matériel passant devant les travailleurs, qu'il a écrasés. Le camion s'est immédiatement enflammé, risquant même d'exploser suite à la présence de bouteilles de gaz à bord et entraînant la fermeture immédiate de l'autoroute dans les deux directions. Le chauffeur flamand du camion a été grièvement blessé.
Les familles des deux cantonniers ont lancé hier un appel très émouvant à tous les conducteurs, leur demandant d'être prudents à hauteur des travaux. Het Nieuwsblad rapporte en effet l'imprudence de certains, qui y foncent à 120 kilomètres/heure en dépit des limitations de vitesse et ne conçoivent manifestement pas que des hommes soient au travail.
Le quotidien va jusqu'à s'interroger sur l'éventualité d'instaurer des amendes spéciales, particulièrement lourdes, pour protéger les cantonniers. Sans vouloir se prononcer sur l'accident d'hier, l'Institut Belge pour la Sécurité Routière (IBSR) plaide pour un renforcement des contrôles au niveau des travaux. "L'expérience nous apprend qu'un mélange de sensibilisation et de contrôles renforcés est le plus efficace pour inciter les conducteurs à modifier leur comportement", explique Werner De Dobbeleer, "car quiconque circule à hauteur d'un chantier peut constater de ses propres yeux que les automobilistes y roulent beaucoup trop vite".
Le président de la N-VA Bart De Wever ne veut pas lâcher Bruxelles (+ RECTIFICATION)
RECTIFICATION: Dans le rapport du 24 aôut 'Pèlerinage de l'Yser: La Flandre doit lâcher Bruxelles' le titre contient une traduction incorrecte de IJzerwake. Le discours de Mr. Crols a eu lieu à l'IJzerwake, ce qui doit être traduit comme Veillée de l'Yser, et non comme Pèlerinage de l'Yser . Le Pèlerinage de l'Yser aura lieu à Diksmuide la semaine prochaine et acceuille les nationalistes flamands à tendance plutôt démocrate. La Veillée de l'Yser par contre est une manifestation des nationalistes à tendance plus autoritaire et de de droite et est fortement dominée par le Vlaams Belang.
Le discours à la Veillée de l'Yser de Frans Crols, ancien rédacteur en chef du magazine d'affaires Trends, continue à faire parler de lui dans les cercles nationalistes flamands. Crols estime que la Flandre doit oser lâcher Bruxelles, et que cela ne constitue pas un abandon mais seulement un semblant d'abandon dans la mesure où la Flandre a déjà perdu Bruxelles depuis quelque temps. Les têtes du Vlaams Belang comme Gerolf Annemans ou son président Bruno Valkeniers estiment que Bruxelles ne peut entraver l'indépendance de la Flandre, et Bart De Wever, président de la N-VA, considère que le débat est inopportun : "Des années s'écouleront encore avant qu'on commence à parler de l'indépendance flamande avec les francophones, et il est donc parfaitement inutile d'annoncer un tel scénario dès maintenant". D'autant qu'il représente un scénario de rêve pour les francophones. La Wallonie et Bruxelles peuvent continuer à exister sous l'appellation de "La Belgique", tandis que la Flandre doit se détacher. De Wever conteste par ailleurs la théorie selon laquelle il faudrait lâcher Bruxelles : "Nous considérons Bruxelles comme un enfant de la Belgique, dont les deux communautés (flamande et française) doivent assumer la responsabilité et où elles doivent toutes deux pouvoir exercer leurs compétences régionales". Même si "l'amour entre la Flandre et Bruxelles est limité", la fonction de Bruxelles est étroitement liée à la Flandre, surtout au niveau géographique et économique car une multitude d'entreprises et d'institutions internationales ont leur siège dans la capitale ou à proximité immédiate. Abandonner Bruxelles serait catastrophique pour la Flandre, conclut De Wever.
Dépoldérisation en Zélande : des ennuis pour Balkenende
Le ministre fédéral des Affaires étrangères Yves Leterme (CD&V) se rendra ce mercredi à La Haye pour y discuter avec son homologue Maxime Verhagen des affaires européennes actuelles et du Benelux, mais il en profitera sans aucun doute pour parler de l'approfondissement de l'Escaut avec le Premier ministre néerlandais Jan Peter Balkenende (CDA). Pour l'instant, les Pays-Bas n'entament pas les travaux, ce qui irrite considérablement la Flandre puisque cette situation se traduit, pour le port d'Anvers, par un manque à gagner annuel de 70 millions d'euros. Le processus décisionnel peu fiable et l'aveuglement de La Haye envers les pays voisins créent par ailleurs, pour les Pays-Bas, une image peu flatteuse sur le plan de la diplomatie internationale.
L'affaire de l'approfondissement de l'Escaut semble devenir épineuse pour Balkenende. La semaine prochaine, il devra répondre au Parlement à la question du parti gouvernemental Christen Unie et des partis d'opposition GroenLinks et D66. Le Premier ministre néerlandais, originaire de Zélande, a entrepris de traiter la question en personne lorsque le projet visant à rendre le polder Hedwige à la nature a soulevé une vague de protestations au Zélande. Prenant le traité de 2005 à rebrousse-poil, il a décidé de laisser le polder en l'état. Les groupes environnementaux ont réagi en saisissant le Conseil d'Etat, qui a aussitôt bloqué toutes les opérations d'approfondissement de l'Escaut. En plus d'irriter la Flandre, la décision de Balkenende va aussi coûter quelque 300 millions à nos voisins du Nord, puisque les Pays-Bas devront sans doute payer eux-mêmes pour les dégâts environnementaux. Le comportement de Balkenende est d'autant plus incompréhensible que la mesure qu'il a supprimée (la dépoldérisation) avait été prise à l'initiative expresse des Pays-Bas eux-mêmes.
La suspension de la juge Francine De Tandt est inévitable s'il y a enquête au pénal
Selon le Président de la Cour d'Appel bruxelloise Guy Delvoie, la présidente controversée du Tribunal du Commerce Francine De Tandt sera bientôt suspendue. La mesure entrera en vigueur dès que le parquet général désignera un conseiller de la cour pour mener à bien une enquête pénale visant à détecter une éventuelle corruption impliquant la juge. Si un magistrat ouvre une telle enquête, la juge sera automatiquement suspendue. La Cour d'Appel bruxelloise veut aussi relancer l'enquête disciplinaire à l'encontre de De Tandt, mais la Cour veut d'abord apprendre du ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V) si le juge Paul Blondeel, qui a mené l'enquête disciplinaire voici deux ans, est la personne la plus apte à la poursuivre.
De Tandt, quant à elle, continue à clamer son innocence et affirme "n'avoir en aucun cas prononcé un jugement dicté par des tiers". Selon De Tijd, l'avocat Robert Peeters, qui aurait "commandé" les sentences à De Tandt, a été mêlé à 5 dossiers pénaux ces dernières années, dont un pour escroquerie envers la banque KBC. De Standaard signale aussi que la juge De Tandt a passé une partie de ses vacances dans la villégiature de Luc Vergaelen, l'expert judiciaire qui a fait saisir les maisons de Francine et Marc De Tandt ainsi que de leur mère. Selon ses collègues magistrats, De Tandt aurait beaucoup trop mélangé sa vie privée et son travail.
Plus de 1000 demandeurs d'asiles logés dans des hôtels
Pendant les vacances du gouvernement fédéral, l'accueil des demandeurs d'asile par l'agence fédérale compétente Fedasil a plus que jamais dérapé. La semaine dernière, 1055 demandeurs ont dû loger dans des hôtels bruxellois faute de place dans les structures destinées à les héberger, ce qui fait 350 personnes de plus que le mois dernier. Lors du dernier conseil des ministres avant les congés parlementaires, il avait été décidé que 500 places provisoires seraient créées dans d'anciennes caserne d'Ixelles et de Tongres ainsi que sur le site militaire de Florennes. Pour l'instant, il n'y en a que 68 à Florennes et les places d'Ixelles et de Tongres ne sont pas encore en service. Le départ d'environ deux mille demandeurs d'asile, qui doivent quitter les centres officiels en échange d'un soutien financier, ne crée pas suffisament de places. A l'heure actuelle, plus de demandeurs y arrivent que partent. Le manque de place résulte principalement du nombre croissant de demandes d'asile le mois dernier. Le nouveau secrétaire d'Etat à l'Intégration sociale Philippe Courard (PS) admet que les mesures existantes sont insuffisantes, et entend mettre la crise à l'agenda du premier conseil des ministres dès la rentrée de septembre.
Pour le Ministre Vanden Bossche, le décret sur les terrains et immeubles est une priorité
Le décret sur les terrains et immeubles (grond- en pandendecreet) qui stipule que 63.000 nouveaux logements sociaux devront être construits d'ici 2020, est un des derniers gros dossiers du précédent gouvernement flamand. Le décret fera appel aux promoteurs immobiliers et aux développeurs de projet, et les grands lotissements devront être partiellement consacrés au logement social. Mais le secteur estime que cette obligation fera s'envoler les prix des autres logements, pour compenser les bénéfices plus faibles sur les logements sociaux. La fédération flamande des employeurs Voka prépare actuellement un dossier destiné à la Cour Constitutionnelle. La plainte a été préparée sous la houlette de l'ancien administrateur de la Voka, Philippe Muyters, qui est aujourd'hui ministre de l'Aménagement du Territoire et doit exécuter le décret en question.
La ministre flamande du Logement Freya Vanden Bossche (SP.A) balaie la critique des employeurs. Cinquante-huit mille personnes attendent actuellement un logement social, avec une moyenne de 2,5 ans avant d'accéder à un logement abordable. Il est capital que le décret concrétise ses objectifs, et dans ce cadre, il faut que le secteur privé prenne ses responsabilités, justifie Vanden Bossche. Autre problème : le financement du décret. Le gouvernement flamand devra investir 6,5 milliards d'euros, mais ignore encore où trouver l'argent avec les années de vaches maigres qui s'annoncent.
Excellente année pour les festivals de l'été en Flandre
L'été particulièrement ensoleillé aura été tout au bénéfice des festivals musicaux en Flandre. Ceux-ci sont au nombre de 300 environ, et à voir les chiffres d'affluence, quelques-uns d'entre eux sont très importants. Par exemple, on a enregistré quelque 80.000 visiteurs par jour à Werchter et 60.000 au Pukkelpop. Le festival dance Tomorrowland a attiré 45.000 participants, un tout petit peu plus que les 43.000 fans de metal du Graspop. Sans oublier les événements destinés aux plus âgés : TW Classic (40.000), et le festival des seniors Rimpelrock (30.000). Les manifestations folk et world music ont encore attiré 27.500 personnes à Dranouter, 26.000 à Couleur Café (Bruxelles), 21.500 à Reggae Geel et 15.000 aux Fêtes Antillaises (Hoogstraten).
Si le beau temps a été un facteur capital pour le succès de cette saison, il ne faut pas oublier d'autres éléments comme une attention croissante des médias et l'enthousiasme d'un public jeune. Les festivals en plein air, qui accueillent eux-mêmes leur logistique (clôtures, approvisionnement en eau et électricité), doivent tenir compte de règles de plus en plus strictes en matière d'environnement, de tabac, d'alcool et de nuisances sonores. Les animations parallèles prennent elles aussi une importante croissante : l'époque où les festivals ne proposaient que de la musique est terminée.
Despite optimism the head of the Christian trade union warns of a continued labour crisis.
22/08/09 - In Mol (Antwerp) a passer-by saw the men dumping the pigeons. As it turns out they were prize pigeons stolen earlier for their footrings by suspected members of a Chinese maffia.
Economy Minister Van Quickenborne says Europe does not allow an imposition of maximum price.
Prices of homes could drop this year for the first time in 26 years
When the negative inflation (-0.2 percent) for the first six months of the year is taken into account, there has been a real drop in the price of housing in Belgium by two percent, while for detached houses (villas) the drop has been 6.5 percent. Building plots are the only exception, and is the only property category to continue rising in price, increasing in real terms by 13.7 percent to an average of 91.50 Euros per square meter. This has emerged from figures released by the FPS Economy.
In the second quarter of 2009 the average villa cost as much as in the third quarter of 2006 : 290,695 Euros. When compared to the most expensive quarter to date, the third term of 2008, villa prices have even dropped as far as 9.9 percent. On the basis of the figures for the first six months, there is a good chance that the average housing price will drop for the first time in 26 years in Belgium.
In 2008 prices rose in nominal terms, but taking the considerable inflation of 5.8 percent between June 2007 and June 2008 into account, there was already a drop in real prices for houses, apartments and detached houses in that period, De Tijd newspaper says.
A number of indications from the first half of 2009 point to a weakened property market, including decreasing revenue for the Flemish region from registration fees, significantly fewer transactions and homes that remain for sale during an ever increasing period. Estate agents are being offered more houses, but they are not selling more. However, the Belgian property market is, all in all, keeping its head above water in Belgium, certainly when compared to countries like the US, UK and Spain. The primary reason for this is that the Belgian market was not subjected to inflated prices nor building booms in recent years.
Judge De Tandt suspended after all
The Brussels Court of Appeal has suspended the president of the Brussels Commercial Court, Francine De Tandt as a matter of urgency. Guy Delvoie, first president of the Court of Appeal, yesterday said he would only suspend the judge once the criminal investigation ordered by Minister of Justice Stefaan De Clerck (CD&V) officially commenced, but fresh damaging elements emerged yesterday in the disciplinary inquiry, compelling the Court of Appeal to suspend De Tandt. According to the newspaper De Standaard, these `damaging elements' concern her relationship with Luc Vergaelen, a wealthy tax accountant, who worked as a consular judge in Brussels until 2000. In 2002, Vergaelen had the homes of De Tandt, her brother and their mother attached. Since 2008 Vergaelen has been working as a legal expert assessing commercial cases. Both De Tandt and Vergaelen vehemently denied that Vergaelen ever took the stand as an expert in cases presided over by De Tandt, but De Standaard says that it emerged yesterday from documents that he had recently acted as an expert in one of her cases. Although that is still not evidence of corruption, De Tandt did render herself highly vulnerable by appointing an expert to whom she was in debt, and whose holiday home she recently stayed in free of charge.
De Clerck, who has returned early from holidays, said he was 'satisfied that the Court of Appeal has acted responsibly'.
Ingrid Lieten, minister on political leave
Ingrid Lieten, the new Flemish minister for Science, Innovation, Media and the Flemish energy company, Vlaamse Energiemaatschappij, which has yet to be established, did not resign as director-general of the Flemish bus and tram company De Lijn, but rather took `political leave'. This provided her with a fallback option should her political career go off the rails. Lieten was not, after all, elected in June, but was catapulted straight into government by her party the SP.A. This means that she cannot rely on a parliamentary mandate, as most of her fellow ministers can, if she loses her post.
It is the first time that a minister has chosen to take political leave, and this has raised questions amongst some Flemish politicians. Because she has retained a link with De Lijn, which as a public company falls under the guardianship of the Flemish government, of which she is now a part, this could produce deontological problems, says an anonymous source in De Tijd newspaper, should, for example, the cabinet have to decide on De Lijn's budget. But De Lijn chairman, Jos Geuens (SP.A), does not see a problem. The board of directors can provisionally elect a CEO for De Lijn until the Flemish government settles on a permanent appointment, and when Lieten returns to De Lijn, the new CEO can simply continue in his post, Geuens says. Flemish Minister-President Kris Peeters yesterday said it is certainly not yet certain that Lieten can take political leave. Lieten was called 'the most powerful businesswoman in Flanders' when she ran De Lijn.
Is or isn't GM still planning to sell Opel?
Confusion reigns supreme on the sale of Opel, with The Wall Street Journal reporting yesterday that the GM board of directors had instructed management to investigate the possibility of GM keeping Opel. The newspaper says this plan - an alternative to the European car manufacturer's sale - is to be completed in early September. Funding to the tune of 4.3 billion dollars (three billion Euros) with the support of the American, British and Spanish governments - with the British connection being its Vauxhall factories and the Spanish counting on their Saragossa plant - is one of the options, says the Financial Times. The Flemish government, which is prepared to invest 500 million Euros in the Opel factory in Antwerp, could also become involved in the arrangement.
As late as last Friday the GM board had reported the decision to sell Opel to Magna and the Russian Sberbank, much to the annoyance of the German government, and the news that GM might now hang onto Opel hit Germany like a bombshell. But after an executive-level meeting between the German government and GM in Berlin yesterday, the automaker announced it wanted to sell Opel. GM vice-president John Smith is set to meet the managers of Magna today. Meanwhile Opel's European works council has voiced strong opposition to GM's go-it-alone option. Chairman Klaus Franz says that it will be impossible for GM to keep Opel afloat on three billion Euros. The tug-of-war surrounding Opel now means that there is little chance of a solution being found before the German parliamentary elections to be held end September.
Decision on the Oosterweel Link is certainly not a given
The Flemish government, the Beheersmaatschappij Antwerpen Mobiel (BAM) and the City of Antwerp have collectively already spent some 60.5 million Euros on studies and surveys for the Oosterweel Link, which will complete the ring road surrounding Antwerp. And yet it is still unknown whether there will be a bridge (De Lange Wapper, the BAM proposal) or a tunnel (the alternative proposed by the engineering consulting firm Arup-Sum) to close the circle. At a specially-convened commission, both sides explained their proposals. In terms of the environment and development of the City of Antwerp, our proposal is the best, Arup-Sum said. They also calculate that their route will be 100 million Euros cheaper (at 2.6 billion Euros) than the BAM option. But BAM maintains that their route is cheaper (between 2.2 and 2.7 billion Euros). They have concluded an agreement with the THV Noriant consortium for undertaking the construction. While neither the N-VA nor the CD&V are championing the Arup-Sum tunnel proposal, the VLD is vehemently opposed to it. But mayor of Antwerp Patrick Janssens (SP.A) has expressed his preference for the tunnel. Moreover, Arup-Sum has once again put forward another alternative to its own route involving a toll-road for trucks in the extant Kennedy Tunnel, even though nobody had requested another option. Arguments countering the Arup-Sum proposal include the 46-meter depth of the tunnel, making it a steep road for trucks, and also that it will run beneath Seveso (stocking dangerous/explosive products) companies. Arguments against the Lange Wapperbrug meanwhile include visual contamination, fine-particle pollution and the complex connection to the ring road at the Deurnse Sportpaleis. A referendum will be held in Antwerp on 18 October to decide the fate of the Ooosterweel Link.
Facebook chats used as proof of cheating in exams
Two student nurses at the Bruges Katholieke Hogeschool received no grades after it emerged from a Facebook chat that they had copied from each other in their exams. As a result Annelien Verhoegstraete will have to retake six out of her 24 subjects, with the official reason being 'cheating in a written exam'. Annelien and her friend were caught out after they bragged on social networking site Facebook about the way in which they had cribbed. The school principal never had any hard evidence, but brought the charge on the basis of the Facebook chat. Annelien now claims that she merely wanted to show off while chatting and that they had actually written the exam without relying on each other - although examination invigilators had spotted the two girls talking. According to Annelien, their Facebook chat was passed on to their head of department. The fact that the council for examination disputes retrieved evidence from Facebook is completely within the law, as Facebook is a public forum, says IT law specialist Patrick Van Eecke. If they had wanted to hide their chats from snoopers, the girls should have split up their lists of friends and altered their privacy settings accordingly.
Magritte Museum a roaring success
After four months of opening its doors, the Magritte Museum in Brussels has already had 120,000 visitors. Taken in annual terms, that means half a million visitors - which was the most optimistic forecast proposed in advance by the McKinsey report. It also means that the museum is already breaking even, says Michel Draguet, director of the umbrella body, the Museums of Fine Arts. Another positive aspect is that the traditional museums did not suffer as a result of the influx of visitors to the Magritte Museum. Brussels has been playing up the surrealist artist as a tourist draw card and the intention is that two years will initially be devoted to playing up the name awareness of the museum, after which the collection might be temporarily increased with famous works by the painter from other museums and collections.
The defending champions were unable to get further than a 1-1 draw against Charleroi.
According to the consumer rights organisation gsm rates are still 3-4 times higher in Belgium.