In Flanders only one priest was ordained this year. In Wallonia, on the other hand, the number is about nine candidates. The official explanation is that the church in Wallonia is experiencing a revival, but according to Brussels priest Staf Nimmegeers that is not the case. What the church refrains from saying, is that the majority of these priests are foreigners, he maintains. 'Most of them have been picked from very conservative international organisations in Africa and South America', he says. This is the work of the conservative bishop of Namen, Léonard, who enjoys close ties with conservative groups abroad, recruits these young candidate priests who then travel to Belgium to receive their training. Wallonia's choice of these priests could be attributed to the fact that they speak the same language. Most of these candidates are not only conservative, but also French-speaking. According to Nimmegeers, Flemish bishops are not that keen on conservative forces. The church in Wallonia has always been a minority force and was never as powerful as the church in Flanders, making them far more traditional and conservative, he maintains. Moreover Wallonia is more aligned to the church in France, where there is a strong conservative movement which succeeds in recruiting a lot of youngsters looking for strict rules.

Only a few kilometres from the Belgian border the French government have used helicopters to spray a massive tiger mosquito (Aedes albopictus) breeding ground in a sixty-hectare marsh. The tiger mosquito is known for its painful bite which could cause various allergic reactions and its transmission of about 22 tropical diseases, including yellow fever. It originates from Southeast Asia and is transported to Europe in containers filled with second-hand car tyres. In 2007 about 250 people in the Italian town of Ravenna were infected by tiger mosquitoes with the chikungunya virus, which causes dengue fever. The discovery of the mosquito breeding ground in Northern France is no cause for panic, but preventative eradication of the larvae will continue. Italy failed to react with drastic measures in the nineties and is now struggling to rid itself of this irritating bug, says Wim Van Bortel, entomologist at the Institute for Tropical Medicine in Antwerp.

The clock was turned back almost 200 years on Sunday morning as 1,200 people took part in a re-enactment of the Battle of Waterloo

17/06/09 - The departure of a train from Brussels Central Station has sparked considerable controversy. A signal was given to the driver, but not by the train guard. Belgian rail has filed a complaint against persons unknown.

20/06 - A beaver has been released into the wild in woodland near to the East Flemish village of Vlassenbroeck. Beavers used to be hunted for their fur and the creature became extinct in Flanders. However, a few years ago the beaver made its return to Flemish countryside.

The Defence Ministry has confirmed that Belgian soldiers came under fire from the Taliban in Afghanistan on Monday. Nobody was hurt.

16/06/09 - In order to learn more about the needs of travellers the holiday insurer Europe Assistance quizzed 3,500 Europeans about their holiday plans. The economic crisis is starting to hit home.

In French-speaking Belgium Christian democrats and victorious greens intend to start talks with the Socialist Party with a view to forming coalition governments across Francophonia.

16/06/09 – The 18-year-old hairdresser visited a tattoo parlour, but came home with more than she had bargained for. She has now filed a complaint with the police.

19/06/09 - Some 400 protesting farmers camped out in the Brussels Cinquantenaire (Jubel) Park Thursday night. During the 2-day EU summit of European leaders, the farmers have been protesting against the low milk prices. They demand action from the EU.

Figures from the European Environment Agency show that the waters along the Belgian coast are the most polluted in Western Europe.

15/06/09 - Top executives of the Canadian - Austrian group Magna travelled to Brussels on Monday for high level talks about the future of the Opel Antwerp plant.

Après l'open VLD, les autres partis candidats à la coalition (NV-A et CD&V) ont à leur tour donné leur feu vert pour participer au prochain gouvernement flamand. Ce matin, on s'attend à ce que le SP.A fasse de même. Pour l'instant, Kris Peeters refuse de faire un choix, de sorte qu'il reste actuellement quatre candidats en lice pour constituer le gouvernement. Peeters a annoncé aujourd'hui qu'il allait trancher et selon De Morgen, il semble qu'il s'oriente plutôt vers une formule quadripartite. Dans la mesure où aucun parti ne fait la fine bouche, il lui est très difficile d'exclure un partenaire, et son propre parti estime d'ailleurs que ce n'est pas nécessaire. La N-VA et le SP.A caressaient l'espoir que les libéraux claqueraient la porte d'eux-mêmes lorsqu'il est apparu que leur cheval de bataille, la prime à la consommation, n'était qu'à peine évoquée dans la note préparatoire de Peeters, mais l'Open VLD reste étonnamment docile. Et même si le CD&V dénonce le projet visant à entamer des négociations sur la réforme de l'État au sein du comité de concertation des gouvernements comme une provocation des nationalistes flamands, ces derniers font de leur mieux pour ne pas protester trop bruyamment. Bref, tous les partis se sont montrés particulièrement prudents pour rester dans la course. Pour autant, le SP.A et la N-VA n'ont guère envie de se retrouver dans une coalition à quatre dans laquelle, mathématiquement, un des partenaires est superflu pour obtenir une majorité. Mais il n'y aura pas de veto contre une quadripartite, et c'est Kris Peeters lui-même qui tranchera, vraisemblablement aujourd'hui.

La prime flamande à la consommation ("jobkorting") ne connaîtra pas d'augmentation substantielle, comme le souhaitait l'open VLD; au contraire, la note du formateur Kris Peeters prévoit de la supprimer partiellement. L'Open VLD ne voulait pas d'un gouvernement conflictuel et préférait une concertation entre partis pour lancer les négociations sur la réforme de l'État ; Peeters n'en a pas non plus tenu compte, préférant des tractations entre gouvernements régionaux. Il propose même d'explorer les limites des compétences régionales et ne recule pas devant la perspective de nouvelles confrontations avec les francophones. Par contre,l'Open VLD était le premier parti à donner son aval à la poursuite des négociations. Le parti se dit aujourd'hui heureux que l'accent soit mis sur la crise économique et l'orthodoxie budgétaire, mais aussi de voir que les débats sur la réforme de l'État commencent au sein du comité de concertation entre gouvernements, où des accords seront pris avec les francophones. La révision à la baisse de la prime à la consommation reste un point de tension, mais le parti entend tout mettre en oeuvre pour la maintenir sous sa forme actuelle dans le prochain gouvernement. Tout semble porter à croire que, pour des considérations tactiques, l'Open VLD choisira de participer au gouvernement flamand à côté du fédéral dont il fait déjà partie. Le gouvernement flamand devra vraiment se serrer la ceinture, mais au fédéral, les économies pèseront encore beaucoup plus lourd sur la politique. C'est pourquoi l'open VLD estime que siéger uniquement au fédéral n'est pas une solution, ce qui explique leur attitude conciliante, conclut De Standaard.

Pour la quatrième année consécutive, on assiste à un regain du nombre de naissances en Flandre. En 2008, l'organisme public "Kind & Gezin" recensait 78 187 naissances, soit 2250 (ou 3,3 %) de plus qu'en 2007. Il s'agit de la croissance la plus élevée depuis 18 ans. Par ailleurs, le nombre d'enfants par femme, aussi appelée index de fertilité, remonte avec 1,82 enfants, ce qui prouve que certains couples choisissent à nouveau d'avoir deux, voire trois enfants ou plus. L'index de fertilité atteint ainsi son niveau le plus élevé depuis 1974, tout en restant un peu en deçà du seuil de remplacement (2,2), qui est le nombre moyen d'enfants nécessaires pour remplacer les générations successives. On constate aussi que la naissance du premier enfant survient plus tôt : avoir un bébé est de nouveau « in » et les couples entre 20 et 30 ans ont davantage d'enfants. La politique familiale des pouvoirs publics joue un rôle important dans cette évolution. Pour les femmes, il est aujourd'hui plus facile de concilier travail et vie de famille, et les crédits-temps ainsi que le congé parental sont des mesures très prisées. Les parents cohabitants optent d'ailleurs de plus en plus souvent pour un plein temps et demi, l'un des conjoints travaillant à temps plein et l'autre à mi-temps. 36 % des familles biparentales ont déjà choisi cette formule. Autre facteur stimulant : la présence d'une infrastructure de garderie suffisante. En Flandre, 62,8 % des moins de trois ans fréquentent une crèche ou la maternelle (contre 60,9 % en 2007).

Cet automne, le gouvernement fédéral se penchera sur l'éventuelle prolongation de la durée de vie des sept centrales nucléaires belges existantes, implantées à Doel (quatre réacteurs) et à Tihange (trois réacteurs). La législation actuelle prévoit une sortie progressive du nucléaire et la fermeture des premiers réacteurs en 2015. Toutefois, pour éviter des problèmes d'approvisionnement, le gouvernement pourrait décider de maintenir quelques réacteurs en activité un peu plus longtemps. Il faudra alors décider si la construction d'une nouvelle centrale nucléaire est de mise. SPE-Luminus, second producteur d'électricité du pays, plaide ouvertement pour une huitième centrale nucléaire dans un mémorandum élaboré à l'occasion des dernières élections. On peut y lire qu'un nouveau réacteur garantirait l'approvisionnement et que sa construction constituerait un stimulant économique. SPE a récemment été repris par EDF, qui possède un parc de plus de 50 réacteurs nucléaires en France, mais 49 % des actions de SPE-Luminus restent aux mains des pouvoirs publics locaux. Les centrales existantes sont la propriété du premier fournisseur d'électricité, Electrabel, mais SPE-Luminus a droit à une partie de la production. Techniquement, il est parfaitement possible d'envisager un cinquième réacteur à Doel, estime SPE, qui est prêt à assumer (une partie de) l'investissement. L'organisation pro-environnementale Greenpeace qualifie le projet de mauvaise plaisanterie : le prix et le risque financier sont bien trop élevés, estime Greenpeace, qui conseille à SPE d'investir dans des technologies propres.

Daf Trucks, implanté près de Westerlo, licenciera non pas 801 travailleurs, mais « seulement » 350 : c'est le chiffre sur lequel syndicats et direction se sont mis d'accord hier. Les licenciements toucheront d'abord des personnes ayant moins de cinq ans d'ancienneté ; 50 autres bénéficieront d'une retraite anticipée dans les prochains mois. Les membres du personnel qui recevront une lettre de licenciement resteront exceptionnellement en service jusqu'à la fin de l'année. L'objectif est de leur permettre de bénéficier d'une période de chômage temporaire prolongée, qu'ils pourront mettre à profit pour suivre auprès du VDAB une formation leur garantissant de meilleures chances de trouver un nouvel emploi. C'est une mesure sans précédent car dans le passé, le VDAB réservait ses formations aux travailleurs déjà licenciés, et qui se trouvaient déjà de fait au chômage. En février 2009, Daf Trucks faisait savoir qu'elle devrait supprimer 800 emplois suite à une baisse dramatique de la production par manque de demande. Aujourd'hui, l'entreprise, qui emploie au total 1700 personnes, mettra ses travailleurs au courant des détails de l'accord.