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Malisse fails to make it to Washington final

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 16:46
The West Fleming was beaten 6-2, 7-6 in the semi-final by Marco Baghdatis.

[VIDEO] - Van Gogh on sale at West Flemish art fair

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 16:46
"La Chaumière sous les Arbres" by the Dutch artist Vincent Van Gogh is on sale at the International Art and Antiques fair in the West Flemish coastal resort of Knokke

[VIDEO] - Philippe Gilbert ties the knot

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 14:16
The Belgian cyclist Philippe Gilbert married his partner Patricia Zeevaert at Harzé Castle in Liège province on Saturday. The wedding reception was held at a restaurant in his home village of Aywaille.

[VIDEO] - Old music brought to life in Bruges

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 13:06
A two-week festival of old music is being held in the West Flemish city of Bruges as part of the Festival of Flanders.

L'évolution de la mentalité des francophones permet d'envisager une réforme de l'Etat

Revue de presse quotidienne - Wed, 08/11/2024 - 12:46
De Standaard
Pierre Verjans, politologue francophone à l'Université de Liège, prévoit des négociations difficiles entre francophones et Flamands, mais n'estime pas impossible de voir advenir une réforme de l'Etat que le Sud du pays estimait hors de question lors de la formation du précédent gouvernement dirigé par Yves Leterme en 2007. Ce dernier, qui avait clamé que "cinq minutes de courage politique" suffiraient pour scinder Bruxelles-Hal-Vilvorde, s'était heurté aux procédures légales et aux possibilités de blocage permettant à la minorité francophone belge de se défendre contre une majorité flamande au parlement. L'électorat flamand et les partis francophones ont toutefois évolué entre 2007 et 2010, et une solution est aujourd'hui envisageable. En décembre 2006, les partis francophones déclaraient qu'ils n'étaient "demandeurs de rien", et toute la campagne électorale à Bruxelles et en Wallonie était marquée au sceau de ce slogan. Quand on ne demande rien, on ne négocie pas, et cela s'est clairement démontré après les élections : les partis francophones ont tenu leurs promesses électorales, et ont refusé de faire le moindre compromis, quelle que soit la pression exercée par leurs homologues flamands. Dans le Nord du pays, les "cinq minutes de courage politique" se sont heurtées à quatre conflits d'intérêts et au blocage du processus décisionnel belge. Les partis flamands ont tout mis en oeuvre pour tenir leurs promesses, mais la résistance a été trop forte et le système belge, entré en vigueur entre 1970 et 1994 pour protéger la minorité, a permis à cette dernière de bloquer la majorité : ça s'appelle 'le fédéralisme'. En effet, les procédures de "sonnette d'alarme" et de conflits d'intérêts, mais aussi la parité au conseil des ministres, garantissent aux francophones de ne pas être tenus à l'écart lors du vote ou de l'abrogation des lois au niveau fédéral. C'est précisément la raison pour laquelle ce qui a failli arriver le 22 avril à la Chambre des Représentants n'aurait pas été un véritable coup d'Etat : lorsqu'une majorité flamande approuve la scission de l'arrondissement électoral Bruxelles-Hal-Vilvorde, le texte ne peut pas prendre force de loi sans l'approbation des ministres fédéraux francophones. Mais un refus de l'exécutif de voter ou d'abroger une loi aurait constitué une "bombe atomique" institutionnelle. Les politiciens francophones n'ont pas voulu prendre cette responsabilité, car leurs électeurs attendent précisément qu'ils préservent la viabilité du système belge. Les politiciens francophones ont donc vu la menace d'un vote flamand le 22 avril comme un coup d'Etat parlementaire, une violation de la condition-clé de la survie de l'Etat belge : en approuvant le texte, les francophones ont dû montrer que les Belges ne vivent plus dans une démocratie nationale, mais dans un système fédéral garantissant le respect de la minorité. Poussés dans leurs derniers retranchements par les parlementaires flamands, les francophones se sont vus contraints de faire ce qu'ils voulaient précisément éviter, mais que la constitution autorise. La prise de conscience, parmi les responsables politiques francophones, du fait que toute la campagne électorale depuis avril a été marquée par un nouveau réalisme, est un élément nouveau. Bien que les exigences flamandes aient heurté les principes de la plupart des francophones, il faut tenir compte de la réalité politique et accepter l'inévitable. Quand tous les partis flamands confirment que le centre de gravité politique doit passer du fédéral aux entités fédérées, les francophones ne peuvent qu'éviter que les régions soient oubliées et faire en sorte que Bruxelles et la Wallonie parviennent à survivre financièrement. Etant donné que les francophones ont lutté pendant dix-neuf ans pour créer les régions, les Wallons semblent disposés en 2010 à payer cher l'autonomie de Bruxelles (contre le courant flamand). En ce moment, ce point semble être la seule contre-revendication qu'ils opposent aux négociateurs du Nord du pays. Le fait que Bart De Wever (N-VA) ait endossé le rôle d'informateur prouve qu'il souhaite négocier sur une réforme de l'Etat et ne veut pas laisser pourrir la situation pour invoquer unilatéralement l'indépendance flamande. Tant qu'une réforme de l'Etat est envisageable, nous préparons l'avenir sans savoir si l'on veut créer un nouveau "Pacte des Belges" ou organiser le démantèlement de l'Etat belge. Car chacun comprend que, même si la N-VA souhaite la disparition de la Belgique, il reste à se mettre d'accord sur toutes les questions transfrontalières : où les navetteurs paient-ils leurs impôts ? Qui paie quelles pensions ? Comment la justice sera-t-elle organisée ? Quelles communes relèvent de quelle compétence ? Toutes ces négociations demandent du temps, beaucoup de temps, ce qui ne peut qu'effriter encore un peu plus l'image de la Belgique (comme on l'a notamment vu lorsque l'Allemagne a dû démentir le fait que l'Otan souhaitait déménager à Bonn). Quelle est la "valeur ajoutée" institutionnelle de Bruxelles si la ville perd sa crédibilité et compromet sérieusement la stabilité de la Belgique ? Si les institutions internationales quittent ce qui était la capitale de l'Europe à l'époque belge, le mouvement flamand aura conquis son indépendance, mais quel profit le peuple flamand en retirera-t-il ? Cette question n'obtiendra de réponse que longtemps après les prochaines élections - une perspective trop lointaine pour un politicien réaliste, conclut Verjans.

2,4 millions octroyés à la restauration d'installations minières

Revue de presse quotidienne - Wed, 08/11/2024 - 12:46
Het Belang van Limburg
Le ministre du Patrimoine Immobilier Geert Bourgeois (N-VA) va accorder aux sites miniers de Winterslag et de Beringen 2,4 millions d'euros à titre de prime de restauration. A Beringen, 1,38 million ira au lavoir et 213.000 euros au complexe de salles de bains. A Genk, 310.000 euros seront affectés au bâtiment de fosse et 442.000 aux écuries de l'ancienne mine de Winterslag. Une partie des bâtiments et installations à Winterslag a obtenu le statut de monument et la ville de Genk y a hébergé le projet de développement C-Mine. L'objectif est d'attirer des structures impliquées dans les loisirs et la créativité. En 2008, un cinéma (l'Euroscoop) et plusieurs établissements horeca s'y sont installés, suivis en septembre 2009 par la Media & Design Academie. Le centre culturel et l'immeuble énergétique ouvriront en septembre. En 2012, le complexe sera terminé, pour un coût total de 75 millions d'euros (25 issus du secteur privé, le reste des pouvoirs publics). A Beringen, la rénovation du site minier n'a pas encore commencé, mais ces ambitieux projets, intitulés Be-Mineplannen, qui pèsent 172 millions d'euros à fournir sous la forme d'une participation privée-publique, sont prêts. Les plans incluent 500 logements particuliers, une maison de repos, un musée de la mine et un complexe de piscines sur le site des tours de refroidissement. Le bourgmestre Marcel Mondelaers prévoit le coup d'envoi du premier projet pour début 2011.

La création du gouvernement dépend-elle d'un pont ou d'un tunnel ?

Revue de presse quotidienne - Wed, 08/11/2024 - 12:46
Gazet van Antwerpen
Lundi, une fuite a permis d'apprendre que le pré-formateur Elio Di Rupo avait vu atterrir le dossier de la liaison d'Oosterweel sur sa table. Cette liaison routière, qui doit parachever le contournement d'Anvers, est un véritable noeud gordien susceptible de créer bien des tensions au sein du gouvernement flamand où la N-VA, le CD&V et le SP.A se partagent le pouvoir, selon Gazet van Antwerpen. Ce sont bien entendu ces mêmes partis qui sont candidats pour participer au futur gouvernement fédéral que Di Rupo est chargé de constituer. Le gouvernement flamand doit notamment décider si la liaison doit prendre la forme d'un viaduc (le Lange Wapper) ou d'un tunnel. La N-VA et le SP.A ont minimalisé a posteriori l'importance du Lange Wapper dans les négociations fédérales; bien entendu, le succès ou l'échec d'un nouveau gouvernement ne va pas dépendre d'un pont ou d'un tunnel, écrit Gazet van Antwerpen, mais il est évident que le dossier pourrait être utilisé comme monnaie d'échange pour convaincre l'un ou l'autre parti ou le faire baisser d'un ton - principalement le SP.A. La variante du tunnel, si chère au coeur des socialistes flamands, n'est pas évidente et risque d'être nettement plus coûteuse que le viaduc, mais c'est loin d'être confirmé car il faut d'abord effectuer les études nécessaires. Il existe un risque non négligeable que le SP.A doive payer au fédéral s'il veut remporter la "bataille d'Oosterweel". La N-VA campe sur ses positions et maintient qu'un tunnel n'est acceptable que s'il n'est pas plus cher qu'un viaduc et que sa construction ne dure pas significativement plus longtemps. Le N-VA nie que son président, Bart De Wever vise déjà les élections communales de 2012 (pour devenir lui-même bourgmestre d'Anvers) et veut ainsi mettre des bâtons dans les roues de son grand concurrent, le socialiste Patrick Janssens, sous la forme du dossier Oosterweel. Mais ce que l'on sait, c'est que Janssens est prêt à aller très loin pour jeter définitivement le projet du viaduc aux orties. On ne peut qu'espérer que l'intérêt du citoyen primera en fin de compte sur l'ego des politiciens, conclut Gazet van Antwerpen.

Paedophile Bishop paid victim

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 12:46
Roger Vangheluwe is reported to have transferred “considerable sums” onto the boy’s family’s account.

Lierse easily beaten by mediocre Standard

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 11:31
The 4-1 win at SK Lierse was Standard's first victory away from home since February.

90+ vacancies with the N-VA

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 10:51
The Flemish nationalist party wants to widen the net to find the most suitable candidates.

[VIDEO] - Dehaene at 70

FLANDERSNEWS.BE - Wed, 08/11/2024 - 10:11
07/08 - The former Belgian Prime Minister is known as the plumber thanks to his ability to fix together a compromise.

Decreasing unemployment benefits ups job-seeking

Daily press review - Tue, 08/10/2024 - 23:00
De Standaard
Professor of Economics Joep Konings and Damiaan Persyn of the Flemish Institute for Economy and Society (VIVES), an 'independent think-tank' attached to KU Leuven, believe there is poor job-matching between unemployed people and vacancies in Flanders. With this opinion they were responding to a media report stating that there were 14,000 jobs in Flanders that 'nobody wants'. This poor job-matching is caused in part by the fact that unemployment benefits are not limited in time. 'If people are unemployed for too long they lose their skills, become discouraged and make less effort to find a new job', Konings says. When compared to Denmark, where unemployment benefits shrink over time, Belgian benefits appear to have 'a negative effect' on the chances of becoming employed. VIVES attributes the cause to, among other things, the Belgian unemployment trap: the difference between the unemployment benefits and the minimum wage is so small that somebody who accepts employment will earn barely 20 percent more than if he stayed unemployed. This situation can only be changed by amending the structure of the benefits. At present the unemployment benefit amounts to 60 percent of a person's last salary, and it barely decreases over time (to 52 percent). In Denmark the benefit is initially higher at 70 percent, but it decreases at a much faster rate. Joep Konings argues in favour of adopting the same system in Belgium, with benefits increased initially and decreasing them to 40 percent over a 12-month period. The intention is that a rapidly-decreasing income serves as incentive to find work. The regional authorities can also use those funds saved to finance a more extensive activation policy for the unemployed. That is another lesson learnt from the approach to unemployment in Denmark : training and help with job applications 'has a positive effect' on the chances of gaining employment.

A predictor for Alzheimer's disease

Daily press review - Tue, 08/10/2024 - 23:00
De Morgen
Belgian researchers have participated in the development of a test that can demonstrate, with a 90 percent accuracy, whether people with mild memory disorders will later suffer from Alzheimer's disease, according to a study in Archives of Neurology. "The test has already been tried on many Belgians during the investigative phase," says Professor Peter Dedeyn of the Memory Clinic of the Ziekenhuisnetwerk (Hospital network) Antwerpen (ZNA) and co-author of the study. 'It can now be used as a diagnostic tool.' Alzheimer's disease is the most important form of dementia, and it gradually destroys brain cells. It first attacks the memory and later the cognitive abilities. In order to diagnose Alzheimer's disease, the traditional approach has been to use neuropsychological criteria, such as short- and long-term memory, sense of direction and the ability to perform complex actions. Should a patient fail in any of these areas, then dementia can be at stake. But an international group of researchers, including Dedeyn, has now developed a test that predicts the disease before these symptoms are present: in other words, before a person has developed a disease. They analysed data from 400 elderly people, 114 of which had a normal memory and 196 of which suffered from mild cognitive problems. These people did have memory problems, but were not considered to suffer from dementia according to any of the criteria. Another 100 people suffered from Alzheimer's disease. Three proteins were identified in the cerebrospinal fluid that play a role in the development of Alzheimer's and that also occur in the brain. A deviating pattern of the biomarkers was found in the cerebrospinal fluid of 90 percent of Alzheimer's sufferers, in 72 percent of people with mild problems and in 36 percent of healthy people. 'We followed up on the group with mild complaints, and a number of them suffered from dementia at a later stage,' said Dedeyn. A model was subsequently worked out to check, through the biomarkers, what the chances are of developing Alzheimer's at a later stage. Researchers were able to establish amongst those with mild complaints who would later develop the disease with a 90 percent accuracy rate and before they exhibited symptoms of the disease. The predictive test has already been used in quite some medical research. The patients were not given the results, but now that the predictive value of the test is recognised, it will be ued in the Antwerp Memory Clinic. The test kits were manufactured by the biotechnology company Innogenetics. The question remains of what one gains from the prediction, given that no effective medication against Alzheimer's disease exists. In other words, is it ethically justified to reveal a diagnose to people before they become sick when there is no cure available? Dedeyn argues that the test does serve a purpose as it can accelerate therapeutic research. "The disease is frequently at a very progressive stage before the symptoms are seen," he says. "The protein bundles in the brains of Alzheimer's sufferers can multiply over ten to fifteen years before a person actually becomes sick. A great many brain cells have already been destroyed by that stage, and they will not be recovered. The earlier you can intervene, the better it is, and it can help to develop effective treatments at an earlier stage.' There is moreover no intention of performing the test on all healthy people, and it is only intended for people with mild memory complaints who want to know whether something is wrong with them. 'People will be able to prepare for the disease in good time as a result of the diagnosis,' says Dedeyn, 'and they can decide whether or not to arrange their lives differently. There is life after being diagnosed with dementia, And we must focus increasingly on the abilities a sufferer still has, since they do exist."

Owen loves Belgian Wembley turf

FLANDERSNEWS.BE - Tue, 08/10/2024 - 16:16
The England international says that an East Flemish company has done a good job at the home of football.

“Di Rupo will die by the white sword”

FLANDERSNEWS.BE - Tue, 08/10/2024 - 16:16
Police investigation launched after death-threat letter is sent to TV station.

De Koninck stays in Flemish hands

FLANDERSNEWS.BE - Tue, 08/10/2024 - 15:56
The brewer of Duvel beer Moortgat has purchased the Antwerp Brewery.

Owen is loves Belgian Wembley turf

FLANDERSNEWS.BE - Tue, 08/10/2024 - 14:11
The England international says that the East Flemish company has done a good job at the home of football.

[VIDEO] - Kaka treated in Flemish clinique

FLANDERSNEWS.BE - Tue, 08/10/2024 - 14:11
Real Madrid's Brazilian star Ricardo Kaka has returned to Spain after receiving treatment for a knee injury in an Antwerp clinique.

Le crédit de Di Rupo sera épuisé après le week-end prochain

Revue de presse quotidienne - Tue, 08/10/2024 - 13:31
De Morgen
La "semaine familiale" que le pré-formateur Elio Di Rupo a instaurée fin juillet, notamment à la demande de la présidente du CdH Joëlle Milquet, est terminée. A partir de mercredi, Di Rupo veut à nouveau rassembler tous les partis autour de la table. En attendant, le pré-formateur s'en tient à des contacts bilatéraux et à des entretiens téléphoniques. La presse n'a guère obtenu plus que l'inévitable "pas de commentaire" auprès des présidents et porte-paroles des diverses formations politiques; mais à l'approche du moment de vérité, la tension monte. Ce que l'on sait déjà, c'est que le pré-formateur n'a donné aucun signe de vie à Groen! durant toute la semaine. Les verts flamands restent donc sur leur faim quant au rôle que Di Rupo leur réserve, mais ils s'attendent néanmoins à ce que le pré-formateur les contacte avant la concertation plénière de mercredi. Quant aux éventuels résultats des contacts de Di Rupo pendant cette semaine de pause, on en est réduit aux conjectures. "Nous lui avons demandé la semaine dernière d'approfondir une série de leviers", explique un négociateur flamand. "Mercredi, il faudra voir si des progrès ont été accomplis". Un autre conciliateur suppose que Di Rupo n'a pas encore obtenu grand-chose, mais se dit prudemment optimiste "parce qu'il n'y a aucune alternative". Du côté francophone, l'espoir est encore un peu plus marqué. "Nous avons travaillé plus dur pendant cette semaine de vacances qu'avant", annonce un porte-parole. Quoi qu'il en soit, côté flamand, chacun souligne qu'il faut aller de l'avant. Même si personne ne veut se cramponner à une date, il est manifeste qu'à la fin de la semaine, le crédit de Di Rupo sera épuisé. Pour le 15, 16 ou 17 août, il faudra que les possibilités soient claires. "Cela ne vient pas à un jour près, mais après cela, la date de péremption de Di Rupo en tant que préformateur sera vraiment dépassée. Après le choc des idées d'il y a 15 jours, tout peut s'accélérer", indique un négociateur. Cette accélération doit se traduire par le fameux "non-paper" que prépare Di Rupo. Il devra créer le cadre pour les véritables discussions sur la formation et les négociations sur la réforme de l'Etat et la scission de BHV, même s'il faut encore que l'on commence à se mettre entièrement d'accord sur le "périmètre" de l'opération. Par conséquent, il reste à Di Rupo 48 heures pour soumettre aux négociateurs un texte de base, écrit ou non, d'ici mercredi. Si aucun progrès tangible ne se manifeste dans la semaine, une nouvelle impasse politique est inévitable.

Umicore est confiante grâce à d'excellents chiffres semestriels

Revue de presse quotidienne - Tue, 08/10/2024 - 13:31
De Tijd
Le groupe de technologies des matériaux Umicore a publié d'excellents résultats, avec des bénéfices et un chiffre d'affaires semestriels largement supérieurs aux attentes, principalement grâce aux catalyseurs pour automobiles et au recyclage des métaux nobles des rebuts électroniques. L'entreprise, qui est par ailleurs l'un des trois plus grands producteurs mondiaux de catalyseurs, fournit aussi des matériaux pour les batteries rechargeables de téléphones portables, d'ordinateurs de poche et de voitures hybrides. Umicore a immédiatement fait passer ses prévisions bénéficiaires pour l'année de 260-290 à 315-335 millions d'euros et versera à partir de cette année, en octobre, un dividende intérimaire équivalent à la moitié de celui de l'exercice précédent. Le CEO Marc Grynberg déborde de confiance et attribue cette reprise aux secteurs qui, l'an dernier, ont été les plus durement touchés : l'automobile et l'électronique. La production automobile a augmenté de 38%, la vente de notebooks de 37%, celle de GSM de 18%. "En outre, nous ressentons pleinement l'effet des réductions de coût de l'an dernier. Nos bénéfices ont retrouvé leur niveau d'avant la crise. Nous prévoyons des revenus d'un niveau pré-crise l'an prochain, un an plus tôt que prévu", détaille Grynberg qui ne se laisse pas décourager par les rumeurs résolument pessimistes en provenance du secteur automobile pour le reste de l'année. Il prévoit une légère baisse du marché des catalyseurs au second semestre, car beaucoup de pouvoirs publics ont réduit leurs subventions encourageant l'achat de véhicules écologiques. Zinc Specialities, la plus petite division d'Umicore, qui fabrique des produits chimiques, poudres et matériaux à base de zinc pour des peintures, catalyseurs, matériaux de construction et batteries, a souffert de la crise du bâtiment. Les revenus sont restés stables, mais le bénéfice a diminué d'un tiers. Selon Grynberg, les signaux positifs du secteur de la construction ne porteront leurs fruits que l'an prochain. Cette année, Umicore va investir quelque 200 millions d'euros. En Corée du Sud, au Japon et en Chine, la capacité de production de matériaux de base pour la fabrication de batteries lithium-ion rechargeables sera accrue. Un centre de développement pour catalyseurs est prévu à Suzhou (Chine), qui possède déjà une usine de catalyseurs, tandis qu'à Hoboken (près d'Anvers), où Umicore exploite une unité de recyclage de métaux nobles, une nouvelle usine de recyclage des batteries d'une capacité de 7000 tonnes (environ 150.000 batteries de véhicules hybrides) est en construction.