Imam Nordin Taouil is backing down from his call to Moslems to keep their children away from school on 01 September after the last two secondary schools in Antwerp outlawed headscarves. After being roundly condemned by departing Minister of Education Frank Vandenbroucke (SP.A) and the Islamic Moslimliga, he is now calling instead for a 'symbolic action' on 01 September. Vandenbroucke has declined to comment on the decision of the Antwerp schools to ban headscarves, but he is not tolerating the imam's attitude. He pointed out that education is compulsory in Belgium and said the imam's approach rendered dialogue impossible. Farid El Machaoud, spokesman for the Moslim League and chairman of the Union of Mosques, said the imam's call contradicts the basic principles of Islam, which stipulate that everyone must receive an education. Groen! party member Meryem Almaci said that if Islamic girls wish to wear a headscarf they can transfer to a Lucerna school - an accredited `free' schools established by the minority community. Groen! would prefer everyone to attend the same neighbourhood schools, including girls who choose to wear headscarves. She said the ban on headscarves is forcing girls to attend Islamic schools. Senator Nahima Lanjri (CD&V) echoed others, labelling the imam's call "inappropriate".

An Amsterdam court ruled in interlocutory proceedings that Fortis Holding must pay out a full package of preferential shares, amounting to 362.5 million Euros, in Fortis Bank Nederland-subsidiary Fortis Capital to the shareholders. Fortis Holding could also have swapped the FCC stock for shares in Fortis Holding, but the company feared a dilution of the capital, so opted for a cash payment instead. In exchange for that it demanded compensation from Fortis Bank Nederland, a demand now dismissed by the courts. According to Fortis Bank Nederland, Fortis Holding has already explicitly promised to pay out the amount, so the shareholders will already get their money next week. The amount constitutes 11.3 percent of the net liquidity position of the holding company at the end of March. The Amsterdam court's pronouncement means Fortis Holding has lost its first legal acid test, says De Tijd newspaper, even though the holding company can still appeal. There are a number of legal disputes yet to come in the wake of the sale of the Dutch components of Fortis to the Dutch state, with Fortis Holding still counting on Fortis Bank Nederland to repay two billion Euros in debt securities.

Cable and telecommunications operator Telenet is to take over the Belgian outlets of the BelCompany chain from the Dutch Macintosh Retail Group. Telenet will pay six million Euros for the sixty shops, while 200 employees will also transfer to its fold. BelCompany focuses on the sale of mobile phones and contracts for all operators. The acquisition means that Telenet now also has its own distribution chain, as do mobile operators Proximus, Mobistar and Base. De Tijd newspaper believes the acquisition indicates that Telenet intends to make mobile telephony its fourth cornerstone, besides television, internet and landline telephony. Telenet reconfirmed its partnership with the mobile phone operator Mobistar early this year, under which Telenet can also offer mobile communications to its customers and Mobistar can further extend its reach and market share through use of the Telenet network.

Belgian advertising agencies made good at the Cannes Lions International Advertising Festival, winning no less than 28 Lions, 11 of them gold. Small agencies Boondoggle - the Leuven agency behind the hype surrounding the young Antwerp Zoo elephant Kai-Mook - and Happiness each won five golden Lions, with BBDO of Brussels getting another one for its work for the Dodge marque. Famous, the Mortierbrigade, DDB, Air and Duval Guillaume also all came home with silver and bronze awards. The era of Belgian agencies cheering when they received a silver or bronze Lion is ancient history, says De Morgen newspaper. This is underscored by the international level at which Belgian advertising agencies now stand : The Netherlands won 7 Lions, France won 14 of them, Germany took home 36 and the United Kingdom had a Lion-haul of 43. In short, plucky little Belgium has commanded its place amongst the superpowers of the advertising sector. The prizes are also a windfall for an industry presently in dire straits, with major companies hacking away at their advertising budgets. Belgium has two big advantages when it comes to the high quality of its advertising. Firstly, the country consists of three linguistic regions and so if an idea works in those three cultures it's going to work everywhere, De Morgen writes. And secondly, there are a large number of smaller agencies, and the high level of competitiveness guarantees an equally high degree of creativity. The Belgian advertising industry is also run by what has come to be known as the golden generation, professionals who learnt their trade from pioneers like Guillaume Vander Stighelen.

Compensation has been awarded just five times during the past six years.

The Federal Government is to be forced to go back to the drawing board.

The Fleming lost out to Tamarine Tanasugarn of Thailand in the final of the Rosmalen Grass Court Championships.

EU leaders also agreed to back the creation of a European system of financial supervisors.

Ce matin, tous les journaux se tournent vers le décès soudain de Karel Van Miert. L'ancien commissaire européen et président des socialistes flamands est décédé lundi des suites d'un infarctus et de la chute qui en a résulté (il se trouvait sur une échelle dans son verger). Van Miert était âgé de 67 ans et passionné de jardinage. Ces dernières années, il s'était retiré dans sa ferme dotée d'un verger de haute futaie comptant plus de 200 arbres. Pour De Morgen, qui consacre à l'événement un supplément de douze pages, mourir parmi ses arbres a été une consolation pour ce fils d'agriculteur qui nous quitte beaucoup trop tôt. Van Miert était non seulement un politicien inspiré et passionné, mais son activisme a aussi permis de réaliser énormément de choses, ce qui a fait de lui un des hommes politiques prépondérants depuis la seconde guerre mondiale, poursuit De Morgen. Dans les années 1970 et 1980, il a donné au parti socialiste belge de l'époque un nouveau visage : celui d'un parti rajeuni, éthiquement inspiré, à la fois flamand, progressiste et pacifiste. Par ailleurs, il n'avait pas peur d'affronter des thèmes internationaux, comme la lutte contre les missiles de croisière. Le SP de Van Miert a ainsi noué des liens avec le vaste courant de gauche parmi les jeunes et les progressistes hors du parti. Il a aussi posé d'autres priorités et a mis tout son poids dans la création du journal progressiste De Morgen, qui allait remplacer les vieux quotidiens socialistes Volksgazet et Vooruit - et qu'il a d'ailleurs dû soutenir financièrement à plus d'une reprise dans les premières années. Le couronnement de sa présidence au SP fut sans aucun doute le score record qu'il enregistra aux élections européennes avec un demi-million de voix de préférences, donnant à son parti un score de 28%, un des plus élevés que les socialistes flamands aient jamais obtenu.

Dans la vie de Van Miert, l'affaire Agusta, qui a causé de profondes blessures au sein du SP, a sans doute constitué une période bien noire. En 1995, Van Miert est Commissaire européen, Willy Claes Secrétaire général de l'Otan, Louis Tobback président du parti et Frank Vandenbroucke ministre des Affaires étrangères. C'est l'apogée du SP. Mais un mois plus tard, le rêve vacille : on découvre que les socialistes ont trempé dans un vulgaire scandale de pots-de-vin. En effet, le constructeur italien d'hélicoptères Agusta a distribué des dessous de table pour vendre à l'Etat belge des appareils inutiles. S'ensuivent des accusations mutuelles, visant principalement sa compagne Carla Galle, secrétaire nationale du parti entre 1984 et 1991, et le trésorier Etienne Mangé. Suite aux tensions au sein du parti, le couple Van Miert-Galle est en désaveu auprès de certains dirigeants du parti. Van Miert est furieux que tout se soit passé à son insu, et trouve les accusations contre sa compagne inadmissibles. Il se coupe de certains de ses amis au sommet du parti socialiste. Dans les années 1990, sa passion n'allait d'ailleurs plus au parti, mais à l'Europe. En tant que Commissaire européen, Van Miert forçait le respect car il affrontait sans détour ni fléchissement les grands groupes industriels pour défendre les intérêts du consommateur. En tant que socialiste, il croyait dans le marché libre comme moteur de la croissance économique, à condition que ce marché soit régulé. Son combat contre Boeing et McDonnell Douglas est légendaire. Van Miert était aussi un défenseur passionné de l'intégration européenne. Pour lui, l'UE devait faire contrepoids aux USA, souvent victimes de l'absence de réglementation, d'une tendance aux abus de pouvoir et des multinationales sans scrupules. C'est pourquoi il cultivait un certain mépris envers les Britanniques, qu'il estimait trop enclins à suivre docilement les Etats-Unis. Européen passionné, il déplorait souvent ces derniers temps le manque de force et de vision opposés à la crise économique.

Le cabinet fédéral restreint se penchera aujourd'hui sur le budget des années à venir. L'Europe insiste d'ailleurs pour que des modifications y soient apportées. Le Premier ministre Van Rompuy (CD&V) et ses vice-Premiers veulent aussi définir comment il faudra répartir les efforts budgétaires des prochaines années entre les pouvoirs fédéraux, régionaux et locaux. Van Rompuy veut économiser 6 milliards d'euros en deux ans pour supprimer, d'ici 2015, le déficit structurel et renouer avec l'équilibre budgétaire. Le futur gouvernement flamand négocie aujourd'hui sur le cadre budgétaire, et n'est guère enclin à voler au secours du fédéral désargenté. Selon les partis qui sont à la table des négociations flamande, ce n'est pas par hasard que l'appel libéral à des efforts supplémentaires des régions résonne au moment même où l'Open VLD et le MR constatent qu'ils ne gouverneront plus nulle part au niveau régional (sauf à Bruxelles). Pour eux, les libéraux veulent éviter de voir les gouvernements des régions et communautés marquer des points au détriment du fédéral. Des affirmations que dément le cabinet du ministre des Affaires extérieures Karel De Gucht (Open VLD), qui explique que les charges les plus lourdes (pensions, soins de santé etc.) sont assumées par le fédéral, et qui il est donc logique que les gouvernements régionaux contribuent. Herman Van Rompuy se trouve donc pris en tenaille entre les libéraux de son propre gouvernement et son collègue de parti, Kris peeters, au gouvernement flamand.

En Belgique, l'électricité des ménages est beaucoup plus chère que dans les pays voisins : c'est ce qui ressort d'une enquête menée par l'organisation de consommateurs Test Achats, qui compare les tarifs des fournisseurs standard dans huit pays européens. La facture énergétique du Belge vivant seul et consommant peu d'électricité est 43% plus élevée que la moyenne des pays voisins. Une famille de trois personnes consommant 3500 kWh par an paie en moyenne 16% de plus que dans les pays entourant la Belgique, et les plus gros consommateurs (7500 kWh) paient encore 6% de plus que dans les pays voisins. La situation du consommateur belge est en revanche meilleure pour le gaz. Ceux et celles qui cuisinent au gaz paient par exemple 10% de moins que dans les pays voisins. Les chiffres de la CREG, le chien de garde du secteur énergétique, confirment ceux de l'enquête de Test-Achats. La facture énergétique d'une famille moyenne consommant 3500 kWh a enflé d'environ 150 euros en cinq ans. Pour la CREG, cette augmentation n'est pas seulement due à l'augmentation des prix du combustible et de la distribution, mais aussi et surtout à l'évolution des formules tarifaires des entreprises énergétiques. Le principal fournisseur belge, Electrabel, évoque les variations des prix du carburant, qui est monté plus vite en Belgique qu'ailleurs, et affirme que par conséquent, les augmentations n'étaient que temporaires. En avril 2009, ils étaient en moyenne inférieurs de 7% à ceux des pays voisins, Electrabel affirme.

L'organisation pro-environnementale Greenpeace estime que l'exploitant des centrales nucléaires belges, Electrabel, devrait payer une taxe de risque sur ses unités vieillissantes. Pour donner plus de force à son message, Greenpeace a commandité une enquête sur les conséquences d'une catastrophe nucléaire. Elle s'est basée pour cela sur une étude autrichienne dont il ressort qu'en cas d'accident nucléaire à Doel, des centaines de milliers d'habitants subiraient une contamination radioactive et que de vastes zones resteraient inhabitables pendant des années, notamment Gand et Anvers. Le risque d'un incident sérieux est estimé à 1 sur 20.000, et plus le réacteur avance en âge, plus le risque augmente, affirme Greenpeace - sans même tenir compte du risque d'attentats. Légalement, Electrabel n'est responsable qu'à concurrence de 300 millions pour un sinistre ; mais cette somme ne représente qu'une fraction des dégâts réels qui se chiffreraient en milliards d'euros, poursuit Greenpeace, qui insiste sur une taxe de risque supplémentaire qu'Electrabel devrait payer. Les recettes ainsi générées permettraient d'investir dans des énergies renouvelables, conclut l'organisation verte, et de contribuer à sortir plus rapidement du nucléaire. Pour l'instant, les bénéfices vont à l'organisation-mère, le groupe GDF-Suez, tandis que la population supporte tous les risques. L'énergie nucléaire est de nouveau dans l'actualité, depuis que le gouvernement fédéral a annoncé qu'il décide en automne sur la fermeture de 3 des 7 réacteurs belges en 2015. En 1999 le gouvernement de libéraux, socialistes et verts a pris la décision de sortir du nucléaire par étapes.

L'OCDE constate qu'en 2008, les fonds de pension belges ont subi une perte encore bien plus sévère que la moyenne internationale. En Belgique, ces fonds sont destinés à compléter les pensions légales, assez faibles, pour les travailleurs du privé. En 2008, elles ont perdu 21,6% suite à des investissements en actions, soit 4% de plus que la moyenne de l'OCDE. Seuls les pays où les fonds de pension ont encore investi davantage en actions, comme les USA, l'Irlande, l'Australie et l'Islande, font pire. Les fonds belges investissent en moyenne un tiers de leurs avoirs en actions, mais ils ont visé le Bel 20, fortement touché par la crise et incluant de nombreux titres bancaires. L'OCDE signale aussi que les fonds de pension légaux ne sont pas à l'abri de la crise suite à l'accroissement du chômage et aux déficits budgétaires. En outre, le ratio de remplacement (rapport entre pension et salaire net moyen pendant la carrière) est de 63,7% en Belgique et inférieur par rapport à la plupart des autres pays européens.

Avec l'été qui approche, la surpopulation des prisons risque de poser problème, surtout si les températures augmentent alors que les condamnés sont entassés dans leurs cellules. C'est pourquoi le ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V) a l'intention d'abréger de quelques mois la peine de 200 à 300 détenus, comme il l'a annoncé durant un entretien avec les syndicats des gardiens de prison. Il s'agit de condamnés à trois à cinq ans, qui arrivent au terme de leur peine. Le but est de "tenir" jusqu'au transfert d'environ 500 détenus vers l'institution pénitentiaire de Tilburg.

Tour de France organisers have banned former world champion Tom Boonen from next month's race.

Flanders paid 19.7 billion Euros in income tax in 2006, with Wallonia's share amounting to 8.8 billion Euros and Brussels contributing 2.65 million Euros. During that same year Flanders counted 3.7 million taxpayers, including tens of thousands of French-speaking payers from the Flemish Periphery (of Brussels), whereas Brussels counted about 676,000 taxpayers of which 60,000 were Flemish. In Wallonia there were 2.1 million taxpayers. Calculated on a regional basis, Flemish taxpayers contributed 5,284 Euros each compared to 4,075 Euros paid by each Walloon and 3,909 Euros by each taxpayer in Brussels. This translates into an average of 30 percent more tax paid by individual Flemings compared to Wallonians, 35 percent more than Brussels residents and 11.4 percent more than the Belgian average. Of a total of 31.13 billion Euros in personal income tax, Flanders paid 64 percent as opposed to the 28 percent in Wallonia and 8.5 percent in Brussels. One of the reasons for this large Flemish part is the higher concentration of unemployed people in Brussels (19 percent) and Wallonia (14 percent). In Flanders the unemployment rate is only 6 percent. Of note is that the average Fleming pays only 5,300 Euros on a gross annual income of 41,000 Euros. This could be partly attributed to the fact that many taxpayers are either retired or unemployed and are in reality non-taxpayers. Moreover many Flemings have transferred their activities into a private limited company, paying themselves a small salary to avoid paying too much tax.

According to the Flemish Environmental Union (BBL), Belgium will probably achieve the Kyoto standard as a result of the financial crisis. The climate goals of the Kyoto Protocol stipulate that Belgian greenhouse gas emissions for the period 2008 to 2012 must be an average of 7.5 percent lower than in 1990. This means that Flanders must cut emissions by 5.2 percent. Agoria, the federation of technology industries, estimates there will be a 15 to 20 percent reduction in CO2 emissions by energy-intensive Flemish industries this year compared to 2008. In 2008 emissions dropped by seven to eight percent, but serious production cuts were only introduced in 2009. The chemical giant BASF in the Antwerp harbour and Arcelor Mittal in Ghent recorded 50 percent less CO2 emissions during the first quarter of this year. At the zinc foundry Nyrstar production was stopped entirely. This substantial drop in production has led to much less energy consumption and consequently fewer greenhouse gases. But the BBL cautions against excessive optimism. The 2020 objective of a 20 percent reduction is still way off and, once the economy has recovered sufficiently, production will increase and the emission levels will do likewise. Factories will also stick to the traditional production methods as investment in green technology has been postponed. Investment in windmill parks has also suffered as a result of the crisis. According to the BBL, therefore the long-term effects of economic downturn will be detrimental.

Prime Minister Herman Van Rompuy will commence talks with the regional government formateurs next week on their contributions to the Belgian treasury. His secretary of state for the budget, Melchior Wathelet, told the newspaper De Morgen why it is imperative that regional and local authorities contribute. Should they fail to do so, all Belgians will suffer as a result, he said, with an ever-increasing deficit resulting in interest expenses for national debt also rising. And every Belgian will ultimately have to pay for that. The Flemish political parties negotiating on a new government are meanwhile hoping to balance their own budget, but it remains unsure if this could be achieved by 2010. They do however know that to achieve this, cuts amounting to 1.9 billion Euros will have to be implemented. The Flemish nationalist N-VA party is opposed to additional support for the federal government, saying it is preposterous to expect that not only the Flemish budget must be balanced, but surpluses have to be realised too in order to support the federal budget. They are hoping to use the debate on federal budget contributions to force negotiations on state reform. Within the ranks of the federal government it is hoped an agreement on regional contributions required for the 2010 and 2011 budgets will be reached before the parliamentary recess. This would include regional competences still funded from federal coffers being covered by the regions themselves, such as pensions for civil servants employed by the Flemish, Walloon and Brussels governments.

The first offshore wind turbine park was officially opened yesterday some 30 kilometres off the Belgian coast. The C-Power Park on the Thornton Bank boasts six turbines, with 54 planned by 2013. This will ensure 300 megawatts of power supplying about 600,000 families. The C-Power Park is the furthest offshore wind turbine park in the world and, at a cost of 152 million Euros to erect the first six turbines, the entire project is estimated at 800 million Euros. The distance from the base of a turbine to the top blade is 184 metres and its rotor surface area could almost cover two football fields. A great deal was invested in research, says general manager Filip Maertens. Many participating companies have achieved tremendous knowhow from the building of the offshore wind turbine park, and they will be able to offer their expertise to contractors worldwide to build similar installations. C-Power have set their sights on international developments through Power@sea. This is a conglomeration of the Flemish dredging company DEME, the Walloon public holding SRIW and Socofe. Together with another C-Power shareholder, the French group EDF Energies Nouvelles, they have been awarded the contract for a windmill park at Le Tourquet off the northern French coast. In addition they will tender for contracts of windmill parks off the British and Polish coasts as well.